Search

Why do we die? Do all living creatures share this fate? Is the body's slow degradation with the passage of time unavoidable, or can the secrets of longevity be unlocked? Over the past two decades, scientists studying the workings of genes and cells have uncovered some of the clues necessary to solve these mysteries. In this fascinating and accessible book, two neurobiologists share the often-surprising findings from that research, including the possibility that aging and natural death may not be forever a certainty for most living beings. André Klarsfeld and Frédéric Revah discuss in detail the latest scientific findings and views on death and longevity. They challenge many popular assumptions, such as the idea that the death of individual organisms serves to rejuvenate species or that death and sexual reproduction are necessarily linked. Finally, they describe current experimental approaches to postpone natural death in lower organisms as well as in mammals. Are all organisms that survive until late in life condemned to a "natural" death, as a consequence of aging, even if they live in a well-protected, supportive environment? The variability of the adult life span--from a few hours for some insects to more than a millennium for the sequoia and thirteen times that for certain wild berry bushes--challenges the notion that death is unavoidable. Evolutionary theory helps explain why and how some species have achieved biological mechanisms that seemingly allow them to resist time. Death cannot be understood without looking into cells--the essential building blocks of life. Intriguingly, at the level of cells, death is not always an accident; it is often programmed as an indispensable aspect of life, which benefits the organism as a whole.

Pourquoi la plupart des créatures vivantes sont-elles condamnées à mourir "naturellement" même lorsqu'elles disposent d'un environnement favorable et protégé ? La mort est-elle un processus biologique "utile" ou bien ne correspond-elle à aucune nécessité naturelle ? La biologie n'aborde ces questions que depuis peu. Elle fournit cependant aujourd'hui une grille d'interprétation cohérente et rigoureuse rendant compte de la mort, de son existence comme des mécanismes au coeur même du vivant. André Klarsfeld et Frédéric Revah font le point sur toutes ces recherches qui bouleversent nombre d'idées reçues sur un sujet qui hante l'humanité depuis les origines.

Y a-t-il des gens du matin et des gens du soir ? Quel est l’effet sur nos organismes du passage à l’heure d’été ou à l’heure d’hiver ? D’où viennent les symptômes du décalage horaire (jet-lag) ? Peut-on les atténuer ? Qu’est-ce que le blues de l’hiver ? Les horloges biologiques, qui rythment nos vies sans que nous en ayons conscience la plupart du temps, constituent une dimension essentielle des mondes animal, végétal et même microbien. Elles facilitent l’adaptation aux cycles immuables des jours et des saisons, et expliquent aussi bien les dépressions saisonnières que le déclenchement de la période des amours chez les animaux. C’est cet ordre, avec ses bouleversements occasionnels ou durables, qu’André Klarsfeld nous fait découvrir ici. André Klarsfeld est chargé de recherche dans l’équipe Génétique moléculaire des rythmes circadiens, à l’Institut de neurobiologie Alfred-Fessard du CNRS (Gif-sur-Yvette). Il est membre de la Société francophone de chronobiologie. Avec Frédéric Revah, il a écrit Biologie de la mort.

Y a-t-il des gens du matin et des gens du soir ? Quel est l’effet sur nos organismes du passage à l’heure d’été ou à l’heure d’hiver ? D’où viennent les symptômes du décalage horaire (jet-lag) ? Peut-on les atténuer ? Qu’est-ce que le blues de l’hiver ?Les horloges biologiques, qui rythment nos vies sans que nous en ayons conscience la plupart du temps, constituent une dimension essentielle des mondes animal, végétal et même microbien. Elles facilitent l’adaptation aux cycles immuables des jours et des saisons, et expliquent aussi bien les dépressions saisonnières que le déclenchement de la période des amours chez les animaux. C’est cet ordre, avec ses bouleversements occasionnels ou durables, qu’André Klarsfeld nous fait découvrir ici. André Klarsfeld est actuellement professeur à l'École Supérieure de Physique et de Chimie Industrielles (ESPCI ParisTech) de la Ville de Paris, Laboratoire de Neurobiologie (ESPCI/CNRS). Il est membre de la Société francophone de chronobiologie. Avec Frédéric Revah, il a écrit Biologie de la mort.

¿Por qué la mayoría de las criaturas están condenadas a una muerte "natural" aunque dispongan de un entorno natural favorable y protegido? ¿Es la muerte un proceso biológico "útil" o no reponde a ninguna necesidad natural? La biología no ha intentado esclarecer estos interrogantes hasta hace poco pero, en la actualiad, ofrece un marco de interpretación coherente y riguroso en el que tienen cabida la muerte, su existencia y sus mecanismos en el seno de un mundo vivo.

DES CLONES GENOMIQUES D'ADN DE POULET, CORRESPONDANT AU GENE DE LA SOUS-UNITE ALPHA DU RECEPTEUR DE L'ACETYLCHOLINE (RACH), ONT ETE ISOLES PAR HYBRIDATION CROISEE AVEC UNE SONDE D'ADNC DE POISSON-TORPILLE. IL S'AGIT D'UN GENE UNIQUE, MAIS POLYMORPHE. SON EXTREMITE 5 A ETE DETERMINEE, ET LA REGION EN AMONT A ETE SEQUENCEE. INTRODUITE DEVANT LE GENE CODANT POUR LA CHLORAMPHENICOL-ACETYLTRANSFERASE, CETTE REGION REPRODUIT DANS DES CELLULES TRANSFECTEES LA SPECIFICITE TISSULAIRE DE L'EXPRESSION DU RACH, AINSI QUE SON CONTROLE AU COURS DE LA DIFFERENTIATION. CES SEQUENCES D'ADN REGULATRICES SE SITUENT ENTRE 110 ET 45 NUCLEOTIDES EN AMONT DU SITE DE DEMARRAGE DE LA TRANSCRIPTION. LA SYNTHESE DU RACH EST REPRIMEE PAR L'ACTIVITE ELECTRIQUE DU MUSCLE. DANS DES CULTURES PRIMAIRES DE MYOTUBES DE POULET, NOUS AVONS MONTRE QUE L'ENTREE DE CALCIUM, AINSI QUE L'ACTIVATION DE LA PROTEINE KINASE C, INTERVIENNENT DANS LA REPRESSION DE LA SOUS-UNITE ALPHA DU RACH. LES NIVEAUX D'ARNM PRECURSEURS VARIENT EN PARALLELE AVEC LES NIVEAUX D'ARNM MATURE, SUGGERANT UNE REGULATION TRANSCRIPTIONNELLE. DANS LE MUSCLE ADULTE, LA DENSITE SOUS-SYNAPTIQUE DE RACH RESTE ELEVEE, MALGRE L'ACTIVITE ELECTRIQUE. NOUS AVONS MONTRE QU'UN NEUROPEPTIDE, LE CALCITONIN GENE-RELATED PEPTIDE (CGRP), AUGMENTE LE CONTENU EN RACH, ET EN ARNM DE SA SOUS-UNITE ALPHA, DANS DES CELLULES MUSCULAIRES EN CULTURE. CETTE REGULATION, QUI EST INDEPENDANTE DE L'ACTIVITE ELECTRIQUE, UTILISE L'AMP CYCLIQUE COMME SECOND MESSAGER. LE CGRP, PRESENT DANS LES MOTONEURONES, POURRAIT PARTICIPER AU MAINTIEN DE LA DISTRIBUTION SOUS-NEURALE DU RACH, PEUT-ETRE EN STIMULANT LA TRANSCRIPTION DES GENES DU RACH DANS LES NOYAUX MUSCULAIRES SITUES A PROXIMITE DE LA SYNAPSE. L'EXISTENCE D'UNE TELLE DIFFERENCIATION DES NOYAUX SOUS-SYNAPTIQUES EST ETUDIEE A L'AIDE DE SOURIS TRANSGENIQUES QUI EXPRIMENT UNE BETA-GALACTOSIDASE A LOCALISATION NUCLEAIRE, SOUS LE CONTROLE DU

Memoirs of a Jew born in 1937 in Saverne, Alsace. In 1940 Meyer and his mother left Nazi-annexed Alsace for Périgueux, where they were joined by his recently demobilized father. The Meyers lived rather peacefully in Périgueux until the Germans arrived in 1942, and roundups and arrests began. His parents went into hiding, but decided to let the state take charge of their child as a non-Jew. Meyer was placed in an orphanage for a while, but was then sent to a foster home in the village of Torcieu. He survived the war under a false name, pretending to be a Christian. He was reunited with his family in Périgueux shortly before the liberation.