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Sophie, riche héritière de presque quarante ans, vit à Paris et n’a qu’une passion : la reine d’Angleterre. Pourtant, il aurait dû en être autrement, car sa première expérience avec la famille royale, qui remonte à l’été 1997, n’est pas grandiose. Ses parents ont eu la mauvaise idée de mourir de la même façon que Lady Di, mais en Twingo et sans funérailles mondiales. À l’aube de l’an 2000, Sophie part à Londres pour tenter de rencontrer celle qui la fascine tant. À son grand désarroi, la reine est en vacances. Vingt-deux ans plus tard, le destin saura se rattraper, à Saint-Germain-des-Prés... Roman en forme de fantaisie royale, London Bridge explore avec humour et délicatesse nos vies pleines de fantômes, que l’on porte une couronne ou non.

The authors of this amusing yet information-filled book live in Israel &, while not orthodox practitioners of Judaism, thrive on the ethical, cultural and historical aspects of their tradition. They had Jewish mothers, fathers and grandfathers who influenced their lives enormously. And each has a special place in their hearts and palates for Jewish food. In the essays and recipes in this book, the authors feature the beloved foods and lore of the Yiddish kitchen: appetizers, such as gefilte fish and herring; somewhere in-between, such as the knishe and the blintz; pickles, relishes and sauces; soups: Jewish penicillin; main courses: meats, poultry -- the kosher chicken, and fish; side dishes, such as kugels, kashe, and vegetables; and desserts. Humorous illustrations.

Des révoltes ont grondé, des peuples se sont libérés, la terre a tremblé, des substances radioactives se sont échappées, des dictateurs sont tombés, le patron du F.M.I a été menoté, une femme de chambre a témoigné, une chanteuse à choucroute a trop picolé, des émeutes ont éclaté, les bourses se sont effondrées, une première dame a accouché, un candidat socialiste a été désigné, une crise a récidivé et récidivé et récidivé...mais Louison, elle, n'a pas chômé.

D'après le livre de Michel Schneider (prix Interallié 2006)

Une femme mène une guerre effrénée face à sa balance et veut trouver une solution rapide et durable avant l’épreuve fatidique de la plage et du bikini... Dans trois mois la plage ! Trois mois pour tout perdre. Trois mois, pour tenter cette cure miraculeuse à base de raisins qui fait perdre 8 kilos et la raison, en seulement 10 jours. Trois mois pour se dire que cette moquerie maternelle était la dernière. Trois mois pour affronter une dernière fois ce regard méprisant d’une vendeuse quand on demande la taille du dessus. Trois mois pour vivre une dernière fois l’humiliation de ce garçon rencontré sur une appli de rencontre et qui « vous voyait moins grosse sur la photo de profil ». Trois mois pour oublier tout ça. Ou peut-être trois mois pour décider de s’en foutre. C’est parti pour une saison en enfer ! L’être humain, et soyons précis : la femme surtout, se livre invariablement entre avril et mai à une bataille sans merci contre elle-même. Le but ? Arriver au cœur de l’été avec le bikini body dont elle a toujours rêvé. Il est plus que temps de réapprendre à s’aimer, à se regarder et à avancer tranquillement dans une société déjà, bien assez compliquée. Et si on décidait d’arrêter de vouloir ressembler à un Top model et qu’à la place, on se resservait des frites ?